Journal Le site des impôts me conseille de quitter Firefox pour Chrome (ou Safari)

31
20
jan.
2024

Il me semble me rappeler d'un journal ou d'un lien déjà posté ici sur un sujet similaire, mais DuckDuckGo étant ce qu'il est (c'est-à-dire pas très efficace), je n'ai pas réussi à le retrouver. Pardonnez-moi donc si ceci fait doublon :

J'ai cherché à me connecter à la CNIL en utilisant FranceConnect. J'ai sélectionné impots.gouv.fr par habitude (mon gestionnaire de mots de passe remplit le formulaire tout seul), et je vois alors ce message :

Devinez ce que préconise la (…)

Le poste de travail Linux : un objectif gouvernemental ?

50
18
déc.
2022
Distribution

Une étude de la DGFiP Direction générale des Finances publiques s’intéresse au « poste de travail Linux » et propose sa généralisation dans les administrations.

Corrections du 2023-01-03: la DGFiP est juste pilote d'un marché dans le cadre duquel a été commandé cette étude. Cette dernière ne propose pas la généralisation du poste Linux, mais de dresser un état de l'art sur le sujet. Les conclusions de l'étude n'engagent pas l'administration.

Cette étude est présentée sous la forme de documents au format OpenDocument ce qui montre bien la volonté des participants du groupe interministériel.

Que doit-on en penser ? Une étude de plus que l’on range au fond du placard ou au contraire une vraie volonté de progrès ?

Cette étude, comme pour celles qui l’ont précédée, est le fruit d’un travail interministériel auquel a contribué l’ADULLACT. Les logiciels libres dans l’administration ne sont plus marginaux, mais au contraire font preuve d’un consensus de plus en plus établi.

Alors, le gouvernement arrivera-t-il enfin à mettre des postes de travail sous Linux dans toute l’administration ? Les auteurs de l’étude du groupe interministériel le souhaitent vivement. Quels écueils devront-ils éviter ? Sauront nous les aider ? Vos commentaires, vos avis et conseils seront les bienvenus.

Corrections du 2023-01-03 : La DGFiP n'est que le pilote du marché. La contribution d'Adullact est la publication des travaux.

Nouvelle version de WAARP 3.0.3 (solution de MFT)

Posté par  . Édité par ZeroHeure, Pierre Jarillon et Benoît Sibaud. Modéré par ZeroHeure. Licence CC By‑SA.
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17
17
juin
2015
Technologie

A ce jour, il existe très peu (voire pas du tout) de solution Open Source traitant de la problématique des échanges de fichiers monitorés et sécurisés.
La solution WAARP répond à ce besoin grâce à sa plateforme d'échange complète.

Il s'agit un middleware (couche infrastructure logicielle) qui permet de transférer des volumes important de fichiers d'une application à une ou plusieurs autres applications. Les applications émettrices et réceptrices peuvent bien évidemment être sur le même site ou des sites distants.

La plate-forme WAARP est constituée de quatre outils qui se complètent pour couvrir l'ensemble des fonctionnalités nécessaires aux échanges de fichiers :

  • Waarp R66 Server : Le moniteur de transfert
  • Waarp Gateway : Passerelle vers Ftp(s)/Http(s)
  • Waarp R66 Proxy : Conçu pour les DMZ
  • Waarp Manager : Administration et supervision centralisé

Avis positif de la CADA, reste la question des licences d'utilisation... Licences libres ?

Posté par  . Édité par Benoît Sibaud et Frederic Couchet. Modéré par bubar🦥. Licence CC By‑SA.
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31
10
mar.
2015
Justice

Monsieur X, citoyen français, dans le cadre de ses travaux de recherche universitaire, souhaiterait avoir accès au code source du logiciel simulant le calcul de l'impôt sur les revenus des personnes physiques. Il adresse donc une demande à la DGFiP (Direction générale des Finances publiques), demande refusée par son directeur.

Monsieur X saisit alors la CADA (commission d'accès aux documents administratifs) au mois de novembre 2014.

En janvier 2015, la CADA rend sa décision et émet un avis favorable : les fichiers informatiques constituant le code source sollicité, sont bien des documents administratifs ; une copie de ce code source peut être communiquée soit sur un support aux frais du demandeur, soit par courrier électronique, sans frais. L'objection d'ordre technique formulée par le directeur général des finances publiques, arguant que les nombreux fichiers qui constituent ce code source nécessitent un lourd traitement pour être rendus exploitables et produire une version compréhensible, est irrecevable. Il est demandé à l'administration de fournir ce qui lui est réclamé dans l'état où elle le détient.

Mais sous quelle licence ? (voir la suite de la dépêche)